Преди да 4етете мнения от рода "за децата си струва" моля про4етете тази статия и размислете над нея... И смея да отбележа 4е данните са статисти4ески и може да им се вярва (за разлика от БГ). Всъщност тук цялата им икономика е базирана върху статистиката...janyz написа:
Prijateli v BG. pochti ne ostanaha-pochti vsichki se iznesoha po Sveta !...
Ako s tova ,koeto vi pisah do tuk ne ste saglasni ,pomislete SAMO za edno -VASHETO DETE(badeshto ili nastojashto). Zaradi dcata si zasluzava
da poemete odgovornosta za tova predizvikatelstvo !!!![]()
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Моето мнение по зададеният въпрос е НЕ. НЕ НА ИМИГРАЦИЯТА във ва6ият слу4ай. Основни при4ини : отли4но възнаграждение и работа по специалността, не достатъ4но ниво на езика (това може да се коригира но иска време), и нали4ието на деца (т.е. нямате право на авантюристи4ни решения)... Късмет!!!
À l'école :
54 % des immigrants ados se disent mal accueillis :
Deux sur cinq croient même leurs professeurs racistes
Alain Bouchard
Le Soleil jeudi 3 février 2005
Plus de la moitié des immigrants adolescents de la région de Québec disent avoir été mal accueillis par les jeunes Québécois de souche à l'école. Le tiers d'entre eux soutiennent y avoir ressenti du racisme. Et près de deux sur cinq croient même leurs professeurs racistes.
Ces données, sans précédent à Québec, sont le fruit d'une enquête menée par le groupe Motivaction Jeunesse auprès de 385 jeunes immigrants de la région âgés de 10 à 17 ans, ainsi qu'auprès de la direction et du personnel de sept écoles. Cette démarche a été effectuée dans une perspective de prévention de la criminalité juvénile.
Le rapport de l'enquête, intitulé L'Intégration et la réalité des jeunes immigrants 10-17 ans à Québec, explique que le racisme perçu chez les enseignants provient du fait qu'ils sont mal préparés à accueillir ces jeunes immigrants d'origines et de cultures fort différentes. La presque totalité de 16 intervenants scolaires interrogés estiment que les enseignants connaissent mal les pays d'origine de leurs élèves immigrants, ainsi que le contexte de leur immigration et la nature des chocs culturels qu'ils doivent vivre.
Ces 16 spécialistes comptent quatre éducateurs spécialisés, trois psychologues, trois enseignants, deux orienteurs, deux animateurs de vie étudiante, une infirmière et un travailleur social, qui oeuvrent dans quatre écoles primaires : Sacré-Coeur, Notre-Dame-du-Canada, Saint-Pie X, Saint-Malo, Stadacona, et dans trois écoles secondaires : Joseph-François-Perreault, Cardinal-Roy et Jean-de-Brébeuf.
Les directeurs de ces écoles, tout comme les auteurs du rapport, recommandent unanimement que les enseignants soient mieux formés sur le multiculturalisme des jeunes immigrants.
Pas plus délinquants
Conclusion positive celle-là, l'enquête révèle cependant que ces jeunes immigrants déracinés n'affichent pas plus de troubles de comportement que leurs camarades de souche québécoise, et qu'ils ne versent pas plus dans la criminalité juvénile, contrairement, par exemple, à ce qui se passe à Montréal. Dans la même note, 78 % disent trouver positive leur immigration à Québec, tandis que 81 % disent aimer la ville.
Exactement 54 % disent avoir été mal accueillis à l'école ; 34 %, avoir ressenti du racisme chez les autres écoliers ; et 38 %, croire leurs professeurs racistes.
Les jeunes immigrants mettent trois bonnes années à se mélanger pour la peine à leurs congénères de souche québécoise, indiquent les auteurs du rapport. Soixante-quatre pour cent disent avoir vécu un choc des valeurs à leur arrivée ; 44 % disent trouver difficile de se faire des amis locaux ; et 70 % disent se sentir différents de par leur fréquentation de lieux de culte religieux.
Commanditée par les gouvernements canadien et québécois, cette enquête ne s'est pas seulement contentée de sonder les 385 jeunes immigrants sélectionnés. Des enquêteurs ont méticuleusement suivi 70 d'entre eux pendant six mois, dans toutes les étapes de leur vie scolaire. C'est la première fois qu'une étude du genre est effectuée à Québec.
ABouchard@lesoleil.com